La capitale constitutionnelle de la Bolivie (attention : les Sucreños sont très susceptibles)
Les jupes sont plus courtes qu’à La Paz
et les couvre-chefs plus larges
Les rues moins pentues
les chiens plus tranquilles
et les places un peu plus animées
Le patrimoine est conservé dans sa forme
mais on nous a dit qu’au fond, sous le blanc on retrouve le rouge ou le bleu d’origine des façades.
Les plantes sans terre sont plus épanouies
et le coucher du soleil, accompagné d’un jugo de durazno ou d’un bananacafé, se laisse admirer plus longtemps
La nuit des musées nous a permis de découvrir les richesses souvent ramenées d’Europe et les limites de la cité coloniale :
pour que les indigènes se rendent aussi à l’église, on leur en a construit une de leur côté de la frontière, juste en face de celle des visages pâles.
Et pour que les Quechuas ne pénètrent pas dans la ville blanche, des morceaux de genoux, porte-malheur, ont été cimentés au milieu des pavés.
Et pourtant....